Qui suis-je
Je m’appelle Georg M. (également connu sous le nom de « Phogue ») et je suis né en 1960 en Allemagne de l’Ouest. Après l’école, le lycée, le service communautaire et quelques détours professionnels, j’ai fait un apprentissage d’informaticien et d’informaticien d’entreprise puis j’ai travaillé dans le marketing pendant des décennies – d’abord dans une agence de publicité classique, puis pendant longtemps dans une entreprise de taille moyenne avec un vaste portefeuille de produits dans le domaine des loisirs et de la technologie automobile. J’ai créé les premiers sites Web pour cette entreprise, mais au départ mon travail comprenait également la création de toutes sortes de supports imprimés. Au fil des ans, mon travail s’est de plus en plus déplacé vers le domaine de la maintenance de contenu Web dans de nombreuses langues. Le contact avec des collègues du monde entier m’a toujours procuré beaucoup de plaisir.
Donc un site internet sur la FIAT 125
A anticiper : je ne possède pas de FIAT 125. Mais, comme dans de nombreux cas comparables, ce sont avant tout des souvenirs personnels qui m’ont poussé à créer la « page FIAT 125 ». A partir de 1970 mes parents possédaient une FIAT 125 en vert foncé, qui fut ensuite remplacée en 1973 par une FIAT 125 Special de la dernière série en beige clair (Elle a été suivi d’une 132 argentée et d’une 131 Supermirafiori bleue claire, avec laquel j’ai moi-même parcouru plusieurs milliers de kilomètres avec plaisir grâce au permis de conduire que j’avais finalement acquis, voir photos ci-dessous). A partir de là j’ai toujours le bel son de la « bella macchina » dans mon oreille ! – Cela m’a incité à créer un site Web sur la FIAT 125 dès 1997 – certaines des photos de cette page datent de cette époque.
Et au-delà ?
Avant tout : je suis passionné en écoutant et créer de la musique, principalement par les instruments à clavier, mais aussi par la guitare et tout ce sur quoi je peux mettre la main. Le spectre va – en un mot – de Bach à Zappa à Yello.
J’aime les vieilles radios et les « vintage hi-fi », en particulier les magnétophones. Je ne suis pas un vrai expert, mais peux troquer une courroie ou des condensateurs ici et là pour faire revivre les anciens trésors.
Mon cœur bat aussi pour le thème des chemins de fer et du modélisme. J’ai grandi à « l’ère des locomotives à vapeur » et en 1975, j’ai fait un tour à vélo avec des amis au dépôt de locomotives à vapeur de Rheine (à l’époque le dernier en Allemagne de l’Ouest après Emden). J’ai échangé mon propre système Märklin H0, que j’avais développé avec amour, contre un amplificateur vers 1976.
Avec « 3D-Modellbahn Studio » j’ai découvert un programme fantastique avec lequel vous pouvez créer un « chemin de fer virtuel ». Dans les systèmes que j’ai créés, j’ai pu vivre pleinement toute mon obsession pour les détails. La programmation événementielle ouvre des possibilités illimitées pour un fonctionnement entièrement automatique !
Comme je n’ai ni l’espace ni l’argent pour un nouveau système aujourd’hui, j’ai au moins construit un « diorama 1:87 » avec dévouement, qui est installé dans un armoire.
Des collages et des aliénations de toutes sortes m’ont toujours beaucoup amusé, déjà de manière analogique. Après quelques productions pour une « station radio imaginaire » appelée « Radio Kreutzphogana », qui ont été sauvegardées sur cassettes compactes dans les années 70 et 80, j’ai également réalisé une œuvre sur cassette compacte que j’ai simplement appelée « Dadaism ». Ici, j’ai utilisé de nombreux « extraits audio » et les ai rassemblés à nouveau. Cette technique, qui reposait sur un bon timing, m’a coûté quelques boutons de pause de mon magnétophone, qui ont tout simplement cassé à un moment donné.
Voici les deux parties du collage audio « Es war einmal ein Gaul » (Il était une fois un cheval). La source de ceci était, entre autres, un ancien enregistrement de conte de fées de la fin des années 1950 – attention, ce n’est que pour les « nerfs durs d’acier » (et en allemand):
« Phogue – Es war einmal ein Gaul Pt. I »
« Phogue – Es war einmal ein Gaul Pt. II »
Les possibilités numériques sont bien entendu idéales pour tout type de collage ou d’aliénation, on ne se salie plus les doigts avec de la colle ni ne casse les boutons de pause. De temps en temps, j’aime créer des montages numériques, des vidéos ou des animations. Voici une animation avec laquelle j’ai récemment appris à mes chers frères et sœurs un peu peur …